C’est l’histoire d’un jeune penseur, une étoile montante de la nébuleuse de Québecor. Qui s’est parti un balado dans lequel il a invité un suprémaciste blanc. Un ethnonationaliste assumé, qui affirme sans détour que certains peuples sont plus intelligents que d’autres, et ce, sur une base biologique : « il y a une corrélation entre la question du quotient intellectuel et la provenance géographique, mais plus que celle-ci, la génétique ».

Dans notre province, il existe une sorte d’omerta lexicale concernant l’étiquette politique de l’extrême droite. Petit retour aux sources parce que là, va peut-être falloir se réveiller…

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Petit tour d’horizon, du Salvador à l’Autriche, de l’USAID à Bernard Arnault.

Donald Trump a gagné. Le 20 janvier 2025, un mouvement fasciste (re)prendra les rênes de la plus grande puissance mondiale. Devrait-on faire l’emploi du mot commençant en F pour désigner l’homme et sa mouvance politique? Tout à fait. Mais la principale question pour nous est plutôt : pourquoi pas ici?

Il y a peu, Mathieu Bock Côté se permettait d’affirmer qu’il n’existerait pas de véhicules politiques pour les critiques de l’immigration au Royaume-Uni, une tentative de légitimer les terribles émeutes racistes dont le pays fut le témoin à l’été 2024. […]

Le soir du 9 juin, fin des élections européennes. Le président français, voyant l’ampleur de la dérouillé que son parti vient de subir, décide de se lancer dans un pari risqué. Il dissolue l’Assemblée nationale, déclenchant des élections législatives surprises, avec à peine 3 semaines pour faire campagne. […]

Lors du dernier congrès du Parti Québécois, en avril 2024, le chef du parti a fait une déclaration surprenante : la nation québécoise est en voie d’extinction! C’est ainsi qu’il entend argumenter le bien-fondé de son projet politique : votez pour mon parti ou c’est la disparition assurée. Quelle stratégie fascinante.

Petit retour sur la séquence d’émeutes, suite à la mort de Nahel, à l’été 2023 en France. Attention : le texte est fort verbeux…

Le 22 août 2023 est un jour comme une autre et Radio-Canada nous offre un reportage sur la crise du logement. Dans l’ensemble, l’article est plutôt banal. Cependant, on considère que ce texte tombe dans un piège lamentablement commun : la neutralité à tout prix, même au prix de la crédibilité. […]